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Comment traire une buffle | Jay WorldMan
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Cette équipe de gentils trayeur-men a accepté de m’enseigner son art. C’est un peu grâce à eux si je suis ici aujourd’hui.

A la surprise générale, cet article traite de la traie d’une buffle ou bufflette, peu importe le nom mais assurez-vous que le sujet soit féminin.

Pour traire une bufflette il vous faut :

– Une bufflette
– Des mains
– Du savoir-faire.

Aujourd’hui je me contente de vous livrer le savoir-faire. Pour ce qui est de la bufflette, vous en trouverez facilement dans une étable indienne, pas loin de chez vous. Elle sera probablement attachée : profitez-en pour vous approcher par derrière et accroupissez-vous à ses côtés, à une distance de bras de son gros nichon juteux. Oui, vous le remarquerez bientôt : la buflette est mono-nichoneuse, en dépit de quoi son appendice mammaire est pourvu de nombreux tétons qui rappellent un peu de grosses couilles pendinolantes. S’il n’y a que trois tétons, attention, vous êtes peut-être en présence d’un mâle ! (sinon c’est bon)

Vous savez tous comment donner un orgasme à une femme par simple mordillement des mamelles : trois tour de langues à droite, deux coups de lèvres à gauche, on remonte le long du cou avec la bouche et on malaxe à fond avec les doigts, je ne vous apprends rien. Traire une buflette n’a rien à voir. Malgré la position intra-jambesque de l’appendice mammaire, on ne procède pas non plus comme lors d’une masturbation standard : oubliez les chaînes et le lubrifiant, il est par ailleurs inutile de vous attacher une ceinture autour du cou… En fait c’est un art complètement à part.

CE QUE VOUS DEVEZ FAIRE C’EST : empoigner le téton. Mais pas n’importe comment ! Vous allez vous servir du pouce et de l’index. Avec le pouce vous maintenez la prise, avec l’index vous serrez le goulet pour faire gonfler l’extrémité du téton en y pressurisant le lait, comme avec une cornemuse, mais les cornemuses marchent à l’air, généralement. Une fois que vous tenez le haut du téton serré entre votre pouce et votre index et que son extrémité est gonflée de lait, formant ainsi une sorte de bouboule, vous vous servirez du majeur, de l’annulaire et du doigt dont tout le monde a oublié le nom pour presser cette boule tout en tirant sur le pis (allez-y franchement !). C’est alors qu’un ridicule petit filet de lait blanc viendra s’écraser sur vos chaussures… Pour deux raisons : la première c’est qu’il faut de l’entrainement pour que ça jute bien ; la seconde c’est que j’ai complètement oublié de vous dire qu’il fallait vous munir d’un seau ! (mais vous auriez du y penser vous-même)

A force de traie, vous constaterez que le mono-nichon perd du volume et que vos bras en gagne, au contraire. Vous ressentirez aussi une sorte de fatigue étrange envahir votre corps… Pas de panique : c’est l’effet travail. Prenez du repos, un bon verre de lait, et recommencez !

bufflon suce doigt

Mon dieu… que c’est bon!

PS : pour que les bufflettes fassent du lait, il faut d’abord qu’elles aient eu un petit bufflon ! Voilà pourquoi il y a de grandes chances que vous en rencontriez un qui rode aux alentours quand vous irez lui racketter son lait. N’hésitez pas à lui mettre les doigts dans la bouche : il les sucera avec application, et c’est encore moins dangereux qu’avec des chèvres. 100% plaisir donc.

PPS : La semaine prochaine, « Comment traire la mère d’un copain ».